Actuellement, Grenade dépend entièrement de l'énergie fossile pour sa production d'électricité, avec 100% provenant de cette source. Cela signifie qu'il n'y a pas de part dédiée à l'énergie bas carbone ou propre, ce qui est préoccupant compte tenu des impacts négatifs associés aux combustibles fossiles, comme le changement climatique et la pollution de l'air. L'absence de sources d'énergie bas carbone dans le mix énergétique de Grenade souligne une opportunité significative d'amélioration et d'évolution vers des alternatives plus durables.
Pour accroitre sa génération d'électricité bas carbone, Grenade pourrait s'inspirer des succès d'autres pays. Le Danemark, avec plus de la moitié de son électricité provenant de l'éolien, et l'Irlande avec presque un tiers, démontrent comment ces technologies pourraient être efficacement intégrées même dans des pays avec des ressources naturelles similaires. De plus, le Liban et la Grèce montrent que même les pays avec des ressources solaires favorables peuvent atteindre plus de 20% de leur électricité à partir du solaire. Enfin, malgré les différences géographiques, les pays insulaires comme le Cap-Vert montrent qu'il est possible d'incorporer à la fois l'éolien et le solaire de manière significative.
Historiquement, Grenade n'a pas connu de développement significatif dans l'intégration des énergies bas carbone dans son mix énergétique. Au fil du temps, aucune donnée n'indique une augmentation de la production d'électricité provenant de sources nucléaires, éoliennes ou solaires. Cet historique souligne une lacune substantielle dans le développement durable que Grenade pourrait combler en suivant les chemins des autres nations qui ont réussi cette transition vers l'énergie propre. En initiant des projets pour exploiter les ressources solaires et éoliennes, Grenade pourrait commencer à transformer son paysage énergétique vers un futur plus vert et plus durable.