En 2022, la consommation d'électricité aux Îles Turques et Caïques dépend entièrement de l'énergie fossile, ce qui signifie qu'aucune part n'est actuellement allouée à l'énergie bas carbone. Cela pose un défi environnemental significatif, car l'énergie fossile est une source majeure d'émissions de carbone, contribuant au changement climatique et à la pollution de l'air. Il est crucial pour cette région d'envisager des solutions d'énergie plus propres et durables afin de diversifier ses sources d'électricité et de réduire son empreinte carbone.
Pour augmenter la part d'électricité bas carbone aux Îles Turques et Caïques, il serait judicieux de s'inspirer des exemples de pays réussissant dans ce domaine. Par exemple, le Danemark est un leader mondial avec 61% de son électricité provenant de l'énergie éolienne. De même, l'Uruguay génère 36% de son électricité à partir du vent. En intégrant des éoliennes, les Îles Turques et Caïques pourraient tirer parti de leur exposition aux vents marins. En outre, les pays comme la Grèce et le Chili, avec respectivement 22% et 21% de leur électricité provenant de l'énergie solaire, démontrent la viabilité de l'énergie solaire, particulièrement pertinente pour les Îles Turques et Caïques grâce à leur bon ensoleillement.
Malheureusement, l'histoire récente des Îles Turques et Caïques en matière de production d'électricité bas carbone ne montre aucun changement positif. Depuis des décennies, il n'y a eu aucune augmentation notable des énergies bas carbone comme le solaire ou l'éolien. Cela souligne l'urgence et la nécessité d'une transition vers des sources d'énergie plus propres. Avec des investissements appropriés et des politiques incitatives, cette situation peut être modifiée, ouvrant la voie à un avenir énergétique plus durable pour les Îles Turques et Caïques.